Je ne suis pas une grande fan des chats. Ils ont trop de griffes et vous regardent toujours de haut. J’ai bien eu un chat ou deux quand j’étais petite. Tellement petite que je n’en ai absolument aucun souvenirs. Mais ma fille aime les chats. Ce qu’elle préfère, depuis qu’elle sait marcher, c’est les attraper pour les poser sur ses genoux et leurs faire des câlins.
A Istanbul, il y a des chats partout. Les locaux nous ont tous dit de ne pas s’inquiéter, ces chats sont gentils, ils ne griffent pas et ne mordent pas. Et d’ailleurs régulièrement j’entends ou je lis des personnes évoquer les nombreux chats qu’ils ont pu caresser pendant leur séjour. Ce que les stambouliotes et ces touristes ne voient pas, c’est le quotidien de ces chats au contact des enfants. Les petits Turcs sont des terreurs (filles et garçons confondus) et leur plus grand jeu dans la rue est de donner des coups de pieds aux chats.
Les chats d’Istanbul sont gentils envers les adultes, mais griffent et crachent dès qu’une petite fille de 2 ans en manque de câlins s’approche. Quelques uns ont bien voulu se laisser toucher après avoir été approché par mon namoureux. Avec les autres, elle a appris la frustration et j’ai compensé autant que possible en prenant avec elle de nombreuses photos.
La semaine prochaine je vous présenterai des chats grecs.
Maaan les pauvres bêtes 🙁 Je comprends qu’ils aient peur du coup :/
J’ai pas l’impression qu’ils connaissent vraiment la peur, mais ils sont au top pour se défendre, voir attaquer les premiers.
On avait fait le même constat et on s’était même demandé si Istanbul n’avait pas été conquis par l’empire des chats ! Certains nous regardaient un peu comme si ils étaient des petits empereurs. Ou peut-être que notre imagination nous joue des tours, je ne sais plus quoi penser après avoir lu ton article…
Ou vous étiez peut-être dans le quartier de la plus haute noblesse des chats d’Istanbul !